Voici trois faits qui se sont déroulés lors de la trépidante histoire du village de Cressy.
- Eté 1867: deux autels latéraux sont achetés par la Fabrique. L'un est dédié à la Sainte-Vierge et l'autre à Saint-Joseph. Ils remplacent deux autres autels qui étaient dédiés à la Sainte-Vierge et à Sainte-Barbe.
Ces deux autels proviennent de l'église de Saint-Victor-l'Abbaye. Ils ont coûté à la Fabrique 50 francs. Ils sont sûrement du 19ème siècle et ils ont été achetés en l'état, puis rénovés par la Fabrique.
Les statues se trouvant dans ces autels sont données par des gens de la paroisse voulant rester anonymes. Les chandeliers de ces autels sont le fruit d'une souscription ouverte dans la paroisse par le curé.
- 1678: Nicolas Le Talbot, prieur, prêtre et chanoine régulier de l'ordre de saint-Augustin de la congrégation de France, procureur du prieuré de Saint-Lô de Rouen, arrive à Cressy. Il y restera jusqu'en 1682. La trace de son nom sera aperçue pour la dernière fois en 1699.
En cette même année, le frère Louis Langlois, chanoine régulier, est également nommé à la cure de Cressy.
-24 avril 1937: il y a 56 élèves à l'école de Cressy. Le conseil municipal en exercice a un projet de prolonger le bâtiment de l'école. Ceci du fait qu'à la prochaine rentrée, il soit prévu 68 enfants. Le conseil décide alors de prolonger la classe actuelle de manière à pouvoir la séparer par une cloison mobile. Le souhait est donc de supprimer l'école mixte en faveur d'une classe des filles et d'une des garçons. Cela aboutirait à un gain de 30 places supplémentaires.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire